Voici les quatre villes où les logements sont les plus abordables au Québec
Ce n’est pas forcément celles qu'on croit..!
Dans un rapport publié sur son site web, Royal LePage a établi un classement des 15 villes les plus abordables au Canada et il y en a quatre qui se trouvent au Québec.
« Royal LePage a identifié les 15 villes les plus abordables en fonction du pourcentage de revenu requis pour effectuer un versement hypothécaire mensuel, en utilisant les données provinciales sur le revenu médian total des ménages et les prix de l’agrégat des propriétés à l’échelle de la ville. Le calcul de l’hypothèque est basé sur un prêt à terme fixe de trois ans au taux de 5,71 %, amorti sur 25 ans avec une mise de fonds de 20 % », peut-on lire sur le site web de Royal LePage.
« Thunder Bay arrive en tête de liste des villes les plus abordables du Canada, où 22,2 % du revenu mensuel d’un ménage serait nécessaire pour effectuer un versement hypothécaire. Saint John, Red Deer, Trois-Rivières et Edmonton complètent le top cinq, où entre 25,1 % et 28,9 % du revenu mensuel d’un ménage est nécessaire pour acquitter un versement hypothécaire », peut-on également lire.
Voici où se trouvent les quatre villes québécoises dans ce top 15:
- Trois-Rivières (4e)
- Québec (8e)
- Sherbrooke (9e)
- Gatineau (15e)
Vous trouverez le classement complet ci-dessous. On remarque que c'est le Québec qui compte le plus de villes (quatre) dans le top 15. Précisons toutefois que les provinces de l’Atlantique en compte quatre aussi.
Royal LePage s'est entretenue avec des Canadiens et « 54 % des répondants de la région du Grand Montréal, 51 % de la région du Grand Toronto et 45 % de la région du Grand Vancouver envisageraient de déménager dans l’une des villes les plus abordables ».
« La ville de Québec est la destination la plus populaire parmi les répondants de la région du Grand Montréal, tandis qu’Edmonton est le choix le plus populaire parmi les résidents des régions du Grand Toronto et du Grand Vancouver », précise Royale LePage.
« Les locataires sont plus susceptibles que les propriétaires d’envisager un déménagement en invoquant l’accessibilité du logement », indique Royal LePage.